« Cette prostituée de bas étage que l’on nommait, en partie à cause de sa beauté, en partie à cause du métier de son mari, La Belle Cordière; cette impudique Louise Labé, que chacun sait avoir fait profession de courtisane publique jusqu’à sa mort. »… Le Bibliothécaire de la ville de Lyon : « Pour dire en un mot, elle faisait part de son corps à ceux qui fonçaient. Ce n’est pas en tant que courtisane que je lui donne place en cette bibliothèque, mais seulement pour avoir écrit. »